mardi 16 avril 2019

Masters: Trump et Obama félicitent Tiger Woods

© Fournis par AFP L'Américain Tiger Woods remporter le Masters d'Augusta le 14 avril 2019
Le président américain, Donald Trump, et son prédécesseur, Barack Obama, ont félicité Tiger Woods après sa victoire retentissante dimanche au Masters d'Augusta, un exploit 11 ans après son dernier titre en Grand Chelem.
"Félicitations à Tiger Woods, vraiment un grand champion", a tweeté Donald Trump, qui a joué au golf avec Woods cette année. "Quel retour fantastique pour un gars vraiment génial", a-t-il ajouté.
"Revenir et remporter le Masters après tous les hauts et les bas est un symbole d’excellence, de courage et de détermination", a de son côté abondé Obama sur son compte Twitter.
Après onze années d'attente, quatre opérations du dos et bien des doutes, Tiger Woods a signé à 43 ans l'un des exploits les plus retentissants de l'histoire du golf, en remportant le Masters d'Augusta, dimanche, aux Etats-Unis.
Pour sa part, la joueuse de tennis américaine Serena Williams, qui a remporté 23 Grand chelem dans sa carrière, a déclaré être "littéralement en larmes devant Tiger Woods, c'est une grandeur sans pareille".
"Sachant tout ce que tu as vécu physiquement pour revenir et faire ce que tu viens de faire aujourd'hui? Bravo Bravo un million de fois! Je suis tellement épatée, merci mon pote", a-t-elle ajouté.
Pour Magic Johnson, une ancienne star de la NBA, "le rugissement du tigre est de retour!", a-t-il écrit sur son compte Twitter.
"Félicitations Tiger, quelle performance", a aussi souligné Tom Brady, le quaterback des New England Patriots, vainqueur du Super Bowl pour la sixième fois cette année.
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AFP

lundi 1 avril 2019

Étudiant chinois enlevé: un suspect identifié

© Fournis par thecanadianpress.com
La police qui enquête sur l'enlèvement présumé d'un étudiant chinois dans un stationnement souterrain au nord de Toronto dit avoir réussi à identifier l'un des quatre suspects recherchés.
Andy Pattenden, de la police régionale de York, a déclaré lundi que les enquêteurs avaient lancé un mandat d'arrêt pancanadien à l'encontre d'un homme de 37 ans originaire de Toronto qui serait directement impliqué dans la disparition de Wanzhen Lu, âgé de 22 ans.
L'affaire Wanzhen Lu a attiré l'attention un peu partout au pays. Selon la police, il a été traîné de force dans une camionnette près de son domicile à Markham, en Ontario, pour refaire surface trois jours plus tard à plus de 150 kilomètres de là.
M. Pattenden a indiqué que bien que Wanzhen Lu ait été retrouvé en bonne santé et qu'il soit maintenant en sécurité, l'enquête sur son enlèvement présumé avec violence reste active.
Les enquêteurs ont «travaillé sans relâche sur cette affaire», a-t-il fait valoir aux journalistes.
M. Pattenden a donné peu de détails sur le premier suspect identifié, le Torontois Abdullahi Adan.
Il n'a pas dit si Abdullahi Adan avait eu des liens avec Wanzhen Lu auparavant, ni s'il était connu de la police, mais l'a décrit comme un homme «armé et dangereux».
Abdullahi Adan est actuellement recherché pour répondre à des accusations d'enlèvement, de séquestration, d'agression et d'agression armée relativement à la disparition de Wanzhen Lu, selon la police.
Les enquêteurs ont déclaré que l'étudiant marchait avec une amie en direction d'un ascenseur après avoir garé sa voiture vers 18 h dans le stationnement de son immeuble d'habitation, le 23 mars, lorsqu'une camionnette noire accessible aux fauteuils roulants a surgi derrière lui.
La police allègue que trois hommes sont alors sortis du véhicule, pendant que le chauffeur est resté derrière le volant, pour agripper M. Lu, qu'ils ont électrocuté plusieurs fois avec un pistolet paralysant avant de le traîner dans la fourgonnette qui a aussitôt quitté les lieux.
L'amie de M. Lu, une jeune femme, n'a pas été blessée, mais elle a été traumatisée par l'attaque décrite comme «éhontée» et «violente» par la police.
La police avait lancé de nombreux appels aux ravisseurs présumés pour qu'ils libèrent M. Lu, ce qu'ils ont probablement fait trois jours après l'enlèvement, selon M. Pattenden. Il a ajouté que M. Lu s'était présenté pour demander de l'aide dans une maison située près de Gravenhurst, un peu plus de 72 heures après sa disparition.
M. Lu avait alors été soigné pour des blessures légères avant d'être ramené dans la région de York.
M. Pattenden n'a pas fourni de nouveaux détails sur l'état de M. Lu, et n'en a pas dit plus sur le motif potentiel de l'enlèvement présumé.
Par Michelle McQuigge 
En savoir plus >>>La presse Canadienne

Des libéraux veulent pousser Wilson-Raybould vers la sortie

© Sean Kilpatrick
Erreur judiciaire : Jody Wilson-Raybould n’a rien fait pendant 18 mois, accuse l’avocat de Glen Assoun
De plus en plus de libéraux fédéraux disent ouvertement que l'ancienne ministre Jody Wilson-Raybould n'a plus sa place au sein de leur formation.
Certains députés libéraux réclamaient d’ailleurs une réunion d'urgence pour décider si elle et l’ex-ministre Jane Philpott, qui a renoncé à son portefeuille quelques semaines après sa collègue, doivent être expulsées du caucus.
La direction a fermé la porte à la tenue d'une réunion d'urgence, possibilité qui avait fait l’objet d’une conférence téléphonique dimanche soir, mais le fond de la question sera abordé mercredi lors du caucus régulier du parti.
Les présidents régionaux de circonscriptions se rencontreront lundi soir pour fixer les modalités de la discussion. Une réunion similaire pourrait aussi avoir lieu mardi soir
Mercredi, jour du caucus libéral, 338 femmes du groupe Héritières du suffrage seront au parlement pour faire la promotion de la présence des femmes en politique. Tout indique donc que si une décision au sujet de l'expulsion de Jody Wilson-Raybould du caucus devait survenir, ce serait avant mercredi.
Un nombre croissant d’élus libéraux ont l’impression que les deux anciennes ministres nuisent à l'image du Parti libéral du Canada (PLC). Ils craignent en outre que la fuite lente et continue d'informations sur l'affaire SNC-Lavalin nuise à l'avancement du programme du gouvernement et complique la réélection des députés au centre de courses serrées.
L’anxiété a monté d’un cran vendredi dernier avec la publication, par le comité de la justice de la Chambre des communes, de l’enregistrement secret d'une conversation que Jody Wilson-Raybould a eue avec Michael Wernick, alors greffier du Conseil privé, et de copies de courriels et de messages textes.
Au cours de l'entretien téléphonique, Mme Wilson-Raybould a réitéré à plusieurs reprises qu'elle considérait les démarches des responsables gouvernementaux – y compris celles de M. Wernick – comme de l'ingérence politique, destinée à permettre à SNC-Lavalin d'éviter un procès criminel pour corruption.
« Je ne suis pas du tout à l'aise d'avoir cette conversation, parce qu'elle est déplacée », a-t-elle répété de différentes façons tout au long de la conversation.
Pendant son témoignage d’une durée de quatre heures devant le comité de la justice, le 27 février, Mme Wilson-Raybould avait fourni des citations précises de plusieurs des conversations qu’elle a eues avec divers responsables au sein de l’appareil gouvernemental.

Malaise grandissant dans les rangs libéraux

Aux yeux du député Rob Oliphant, le geste de Mme Wilson-Raybould est « mis en scène » et ressemble à une tentative visant à « piéger » le greffier.
Si Mme Philpot et elle n’expriment pas leur confiance à l’endroit du premier ministre Justin Trudeau et de son gouvernement, elles doivent partir, estime M. Oliphant.
Son collègue Nick Whalen s’est dit « estomaqué » d’apprendre qu’une ministre avait enregistré une conversation avec le greffier du Conseil privé et l'avait ensuite gardée secrète plutôt que de la montrer au premier ministre comme preuve des pressions indues qu’elle disait sentir.
Les conservateurs accusent le gouvernement d’avoir voulu étouffer le scandale en mettant fin prématurément aux travaux du comité de la justice.
Peu après midi, lundi, le député Pierre Poilievre a entamé un discoursqu'il n'entend finir que lorsque le gouvernement libéral acceptera que le comité reprenne l'étude de cette affaire.
Il y a deux semaines, les conservateurs ont réussi à faire siéger les parlementaires nuit et jour, en imposant un vote d'une trentaine d'heures dans le but d'attirer l'attention sur l'affaire SNC-Lavalin.
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jeudi 14 mars 2019

Procès d'All Boivin: la plaignante a cru mourir

© Photo Facebook - Uraphoto
Le Laterrois All Boivin aurait fait passer une journée d’enfer à une jeune femme, le 25 juillet 2018, en la battant à coups de poing et de pied, en tentant de l’étouffer avec une laisse à chien. Amenée à l’hôpital dans un très mauvais état, la présumée victime a avoué aux policières de Saguenay qu’elle a cru mourir.
Le juge Pierre Lortie, de la Cour du Québec, a entrepris le procès de l’homme de 29 ans, lundi matin, au Palais de justice de Chicoutimi.
Boivin est accusé de voies de fait graves, d’agression sexuelle armée, de voies de fait armées (avec un ventilateur), de deux voies de fait simples, de séquestration, de menaces de mort et de trafic de stupéfiants.
© LE QUOTIDIEN, JEANNOT LÉVESQUE Me Karen Inkel, de la Couronne, devrait faire entendre la plaignante au dossier, mardi, lors de la deuxième journée du procès d’All Boivin.
Le procès devrait s’échelonner sur près de deux semaines. Me Karen Inkel, du bureau du Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP), entend faire entendre 13 témoins, alors que Me Pierre Gagnon, en défense, pourrait en faire entendre trois ou quatre.
Aucune décision n’a encore été prise sur la possibilité que Boivin vienne témoigner. Il faut savoir que ce n’est pas une obligation de la défense.
Lundi matin, le procès a débuté avec le témoignage de l’enquêtrice Josianne Gagnon, du Service de police de Saguenay (SPS). Elle a raconté les circonstances qui ont amené elle et une collègue à interroger la plaignante sur une civière à l’hôpital de Chicoutimi.
Les deux policières s’étaient rendues au centre hospitalier pour obtenir le témoignage de jeunes filles victimes d’une surdose de drogue le 24 juillet au domicile d’All Boivin, au chemin du Portage-des-Roches Sud à Laterrière.
« Mais nous avons entendu le nom de la plaignante (ordonnance de non-publication sur son identité) et nous nous sommes demandé ce qu’elle faisait aux urgences. Une infirmière nous a menés à sa civière en nous disant de ne pas faire le saut, qu’elle était “maganée” », a lancé l’enquêtrice Gagnon.
© ARCHIVES LE QUOTIDIEN All Boivin subit son procès pour agression sexuelle armée et voies de fait armées. Il sera au Palais de justice pour plusieurs jours.
« Lorsque nous avons vu son état, nous étions stupéfaites. Comme on dit, la gueule nous est tombée à terre. Elle avait les bras et le visage couverts de bleus », a-t-elle ajouté.
Les policières ont ensuite demandé à la jeune femme ce qui avait bien pu se passer pour qu’elle se retrouve dans un pareil état.
Elle n’a pas hésité à dire que c’est All Boivin qui lui avait infligé toutes ces blessures.
« Il l’avait battue à coups de pied et à coups de poing, lui a aspergé du poivre de cayenne au visage et lui a maintenu la tête sous l’eau. Elle a dit qu’il avait tenté de l’étouffer avec la laisse du chien. Et il a cassé son cellulaire, comme il l’avait fait plusieurs fois auparavant », a poursuivi l’enquêtrice.
Mme Gagnon a pris de nombreuses photos des blessures de la jeune femme. Des bleus au visage, aux bras et aux jambes. Elle a même été agressée sexuellement et l’accusé aurait utilisé un objet. La plaignante avait des bosses dans le dos, car elle prétend que Boivin l’a poussé à quelques reprises au bas de l’escalier.
« Elle m’a mentionné avoir pensé mourir cette journée-là. Elle a été placée sous protection à l’urgence. Nous avons d’ailleurs expulsé quatre personnes le soir même de son admission. Ensuite, lorsqu’elle a été transférée sur un étage, nous avons fait en sorte de la sortir du système afin que personne ne sache où elle se trouvait », a ajouté l’enquêtrice.
Après un examen plus poussé des blessures infligées à la jeune fille, le médecin a, selon la preuve, décelé des lacérations au foie et aux reins, de même qu’un traumatisme crânien.
Et en après-midi, la technicienne en identité judiciaire, Jessie Lalande, a tourné une vidéo de l’intérieur de la maison et a pris des centaines de photographies.
Il a été possible de noter que la résidence du chemin du Portage-des-Roches Sud était sens dessus dessous. Quelques gouttes de sang, appartenant à Boivin, ont été trouvées au sol, de même que de l’ADN de l’accusé et de la plaignante sur la laisse du chien.
Le tribunal devrait entendre, mardi, le témoignage de la plaignante, qui se fera derrière un paravent afin qu’elle n’ait pas de contacts directs avec l’accusé.
Par Stéphane Bégin - Le Quotidien

Panne en plein vol d'un avion d'Air France

Un Airbus de la compagnie Air France - © GETTY IMAGES
L'un des quatre réacteurs d'un Airbus A380 d'Air France, qui effectuait la liaison Abidjan-Paris dans la nuit de samedi à dimanche avec 501 passagers, est tombé en panne, contraignant l'appareil à faire demi-tour.
L'avion s'est posé sans dommage, selon la compagnie et un passager.
"Nous volions au-dessus du Niger, d'après l'écran de géolocalisation. J'ai vu une boule de feu pendant quelques secondes puis j'ai entendu un grand bruit du côté gauche de l'avion", a témoigné dimanche auprès de l'AFP un journaliste de l'agence Bloomberg, Baudelaire Mieu.
"L'avion a commencé à tanguer, tout tremblait, les gens ont commencé à paniquer. Le pilote a annoncé nous venons de perdre un moteur gauche, nous rentrons à Abidjan" a t-il ajouté.
Selon la même source, "l'avion a continué de vibrer pendant son retour vers Abidjan, les gens priaient, j'entendais Seigneur, Allah".
Le directeur général d'Air France KLM pour l'Afrique de l'Ouest, Jean-Luc Mévellec, a confirmé qu'un moteur était tombé en panne.
L'appareil s'est finalement posé sans problème à l'aéroport Félix Houphouët Boigny d'Abidjan, tous les passagers ont applaudi et ont pu débarquer sains et saufs, selon le journaliste.
"C'était chaud ! J'ai eu la peur de ma vie !", a t-il confié.
En savoir plus BBC Afrique News

La présumée victime d'All Boivin était couverte d'écchymoses, témoigne une médecin

© Capture d'écran Facebook - Uraphoto
Une médecin de l'urgence de l'hôpital de Chicoutimi a confirmé que les lésions remarquées sur sa patiente le soir où elle s’est présentée au centre hospitalier étaient parfaitement compatibles avec l'agression décrite par la présumée victime, une femme de 21 ans.
Selon la preuve déposée jusqu'à présent, l’agression serait survenue dans la soirée du 24 juillet et dans la nuit du 25 juillet 2018 chez l'accusé, à Laterrière. La plaignante a rencontré la Dre Caroline Dupont-Dorais vers 19 h le 25 juillet.
Cette dernière a constaté que la présumée victime avait des ecchymoses partout sur le corps, sauf dans le haut du dos.
La médecin a aussi indiqué avoir trouvé un objet dans les organes génitaux de la victime. Cette découverte a surpris le personnel médical et a eu pour effet d'amener la jeune femme à parler aux policiers, selon l'experte. La présence de cet objet est à l’origine de l'accusation d'agression sexuelle.
La Dre Dupont-Dorais a aussi constaté un traumatisme léger à la tête. La patiente était somnolente, mais cohérente malgré son état, a-t-elle précisé.

Des agents de sécurité

Dans son témoignage, Caroline Dupont-Dorais a ajouté qu'elle était inquiète pour la patiente le soir des examens. La jeune femme a été placée sur une civière surveillée par des agents de sécurité parce que le suspect était toujours recherché.
En après-midi, la radiologiste Isabelle Rousseau est venue témoigner et a confirmé la présence bien claire de deux lacérations au foie et des contusions aux reins chez la présumée victime d’All Boivin. Aucune fracture n'a été observée.
All Boivin est demeuré calme lors des témoignages et a pris des notes occasionnellement. Il porte un chapelet en plastique rose au cou depuis le début du procès.
 Avec Gilles Munge - Radio-Canada

Régis Labeaume atteint d’un cancer

© Phototèque Le Soleil
Le maire de Québec, Régis Labeaume, est atteint d'un cancer de la prostate. Il continuera d'exercer ses fonctions, mais devra tôt ou tard s'absenter pour une durée encore indéterminée.
Cette révélation sur l’état de santé du maire a été faite par son attaché de presse, Paul-Christian Nolin, dans un bref communiqué acheminé aux médias mercredi après-midi.
« C’est dans un souci de transparence que nous vous en informons », a écrit M. Nolin.
Il mentionne que Régis Labeaume a rencontré son équipe ainsi que la Direction générale de la Ville, mercredi, afin de leur apprendre qu’il avait reçu un diagnostic de cancer de la prostate. Ce diagnostic est intervenu après quelques mois d’examens.
© Fournis par Canadian Broadcasting Corporation Daniel Coulombe
Le maire allégera graduellement son emploi du temps « en prévision de la suite des choses ». Il continuera d’exercer ses fonctions, mais déléguera certaines responsabilités aux membres de son équipe.
Paul-Christian Nolin précise que le maire devra s’absenter pour une convalescence dont on ignore pour l’instant la durée.
Le bureau de Régis Labeaume prévient qu’aucune entrevue ne sera accordée sur le sujet.

Messages d’appui

La révélation sur l’état de santé du maire de Québec a rapidement suscité des réactions au sein de la classe politique québécoise.
« Je viens d’apprendre la nouvelle pour mon collègue, le maire de Québec. Courage, Régis, durant cette épreuve. Je pense à toi et tout le monde municipal est avec toi! » a écrit sur Twitter la mairesse de Montréal, Valérie Plante.
© Fournis par Canadian Broadcasting Corporation Guillaume Croteau-Langevin
Le maire de Lévis, Gilles Lehouillier, a également offert son soutien à son homologue de Québec : « Je tiens à souhaiter à monsieur Labeaume un prompt rétablissement et un bon courage devant cette épreuve difficile. »
Le conseiller municipal Jean Rousseau, un adversaire du maire de Québec, lui a souhaité « le meilleur des succès dans ce combat qui s’annonce pour lui ».
« Au-delà de nos divergences politiques, je souhaite dire à M. Labeaume et à ses proches qu’il a toutes mes sympathies. Je lui souhaite de passer à travers cette épreuve », a affirmé M. Rousseau en entrevue à Radio-Canada.

« Un battant »

Des élus de l’Assemblée nationale ont aussi fait part de leurs vœux de guérison et de rétablissement au maire de Québec.
Le premier ministre François Legault s’est voulu rassurant en mentionnant que le cancer de la prostate « a de très bons pronostics ».
« On connaît tous des gens qui sont passés par là, puis quand on connaît Régis, qui est un battant, bien moi je suis convaincu qu’il va revenir encore plus fort », a commenté le chef du gouvernement.
Je veux lui dire : "Courage Régis, on a hâte de te voir en pleine forme"
François Legault, premier ministre du Québec
« Cher Régis, nos pensées t’accompagnent. Bon courage dans ton combat et prompt rétablissement », a réagi de son côté le chef par intérim du Parti libéral, Pierre Arcand.
Son vis-à-vis du Parti québécois, Pascal Bérubé, a abondé dans le même sens.
« Dans le rythme trépidant de la vie politique, il arrive des moments où il faut prendre du temps pour soi. Bon courage, mon cher Régis, nous sommes avec toi », a écrit pour sa part la porte-parole de Québec solidaire Manon Massé.
 Avec Louis Gagné - En savoir plus>>>

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